Le nain sortit de la taverne un tonnelet sous la main. Particulièrement fatigué ce matin, c'était tout juste s'il n'allait pas s'effondrer au bord des canaux, mais l'affaire dont lui avait parlé l'aubergiste était bien trop importante pour laisser passer quoique ce soit. Ainsi, le mercenaire fît un effort de plus pour chercher le fameux dispensaire de la compagnie du Printemps d'Alterac.
Haut de ses un mètre vingt, vêtu légèrement comme à son habitude et portant toujours son long sabre au côté, Svengard passait pour un barbare dans le raffinement de la cité blanche. Tel un vagabond, il erra dans les étroites rues avant de sortir sur les canaux. Qu'avait donc pu lui dire ce foutu médecin ? Les souvenirs de la nuit précédente passée au Cochon Siffleur refoulaient douloureusement dans son crâne chauve. Puis il parvint à se rappeler d'une maison au bord des canaux décrite par l'étranger. Ainsi, il continua son chemin d'un pas décidé, bousculant un crieur public au passage et arriva enfin devant une maison dans le plus grand classique Hurleventois : à colombage, avec une petite terrasse ombragée. D'ailleurs sur cette terrasse siègeait une dame agêe dont les jambes était couvertes par une laine. La femme, dégustant son thé remarqua le nain qui la fixait depuis quelques temps.
Svengard l'interpella ainsi, ouspetant sous sa barbe :
-Hey madame, c'est bien ici le dispensaire ?
Haut de ses un mètre vingt, vêtu légèrement comme à son habitude et portant toujours son long sabre au côté, Svengard passait pour un barbare dans le raffinement de la cité blanche. Tel un vagabond, il erra dans les étroites rues avant de sortir sur les canaux. Qu'avait donc pu lui dire ce foutu médecin ? Les souvenirs de la nuit précédente passée au Cochon Siffleur refoulaient douloureusement dans son crâne chauve. Puis il parvint à se rappeler d'une maison au bord des canaux décrite par l'étranger. Ainsi, il continua son chemin d'un pas décidé, bousculant un crieur public au passage et arriva enfin devant une maison dans le plus grand classique Hurleventois : à colombage, avec une petite terrasse ombragée. D'ailleurs sur cette terrasse siègeait une dame agêe dont les jambes était couvertes par une laine. La femme, dégustant son thé remarqua le nain qui la fixait depuis quelques temps.
Svengard l'interpella ainsi, ouspetant sous sa barbe :
-Hey madame, c'est bien ici le dispensaire ?
Dernière édition par Svengard le Lun 9 Jan - 23:32, édité 1 fois